Info
Théâtre/Halloween : monologue ''Confessions d'un Vampire
Sud-Africain'', Paris 31/10/2013
THEATRE/MONOLOGUE
CONFESSIONS
D'UN VAMPIRE SUD-AFRICAIN
Il
ressemble à un homme, il parle comme un homme, il chante comme un
homme
Il
est sensuel comme un homme, il rit comme un homme, ce n´est pas un
homme
C'est
un Vampire. Il s´appelle PRETORIUS MALAN. Et il a des choses à
dire...
2013.
Pretorius Malan, 105 ans, vampire sud-africain, métis et bisexuel
raconte sa vie à un groupe d’étudiants français. Solitaire,
aigri, obsédé, dur, il parle de sa vie, de sa liaison passionnelle
avec Dracula, de ses victimes et de la société sud-africaine de
1908 à 2013…
Confessions
d'un Vampire Sud-Africain
est un monologue écrit par le chanteur pianiste et réalisateur Jann
Halexander (A
Table,
Il
est minuit Docteur Schweitzer)
qui interprète la vampire Pretorius Malan. Il a incarné avant
Antoine Blanchard dans le film J'Aimerais
J'Aimerais.
La pièce a été présentée une cinquantaine de fois au Musée des
Vampires, en région parisienne, à Paris, à Angers, à Bruxelles, à
Cologne depuis 2008...
Pièce interdite aux moins de 18 ans...
AU
MAGIQUE
21H00
42
rue de Gergovie – 75014 Paris – Métro Pernety ligne 13
Réservation
au Magique :
01.45.42.26.10
Tarif
plein : 12 euros - Tarif Billetreduc.com : 10 euros
Tarif
sur réservation : 10 euros – Tarif RSA : 5 euros
(possibilité
de dîner sur place sur réservation)
Contact
médias / Jeff Bonnenfant : 06.80.15.05.24
Production
© Label Trilogie Halexander / Lalouline Editions
Extrait
:
"Chaque jour, j'attendais 17 heures avec impatience, mon
coeur battait pour lui, j'en rêvais chaque nuit. Nous deux
discutions des vins du Cap, de ma famille, des neiges sur nos
montagnes, de la cueillette des mûres, des jus de fruits de Ceres,
du soleil parfois traître et des kaffirs, des orientaux, des bonnes
familles afrikaners, il me parlait de l'Europe, de la France, de la
Roumanie. Peu à peu, Dracula m'apprenait des mots français,
roumains, surtout français, il me disait que c'était la plus belle
langue du monde. Je n'en doutais pas. Une fois, après avoir fini de
manger, il me demanda de m'asseoir face à lui, j'étais
intimidé...et amoureux. Il m'a dit : Pretorius...c'est un beau
prénom. Pour un beau visage. Il m'a dit donnez moi votre main
droite. Je la lui tendis, il la serra fort, avec chaleur, non ce
n'était pas de l'amitié, il la porta à ses lèvres et y posa un
baiser. Moi je tremblais, je tremblais de tout mon être. Je n'avais
jamais connu ça. Il a vu que j'étais mal à l'aise, peut-être même
que je suais. Il a souri. Avez-vous vu l'amour sourire ? D'ailleurs
c'était plus que de l'amour...l'amour est raison...au moins. Mais
là..."